Les aliments ultra transformés altèrent le microbiote, et indirectement le psychisme. Bien qu’il soit très difficile de modifier un microbiote, présent dès la naissance, il reste très bénéfique d’agir en conséquence, pour l’enrichir et améliorer la santé psychique.
Ainsi, une alimentation riche en fibres (fruits et légumes), avec des yaourts bruts, du pain complet serait une solution et alternative significative. Les omégas 3 présents dans les poissons gras vont également agir en faveur du microbiote (anchois, macro). Néanmoins, il conviendrait d’éviter le thon, car c’est un poisson prédateur qui va être riche en métaux lourds. Enfin, les huiles de noix, de lin et de colza auront tout autant un double effet sur le tube digestif, en ayant un rôle d’anti-inflammatoire (protection) et de resserrement des cellules intestinales (diminution de la porosité et limitation de l’échappement des substances néfastes pour le mental). La curcumine, la glutamine et les produits laitiers sont actuellement à l’origine de recherches prometteuses, pour constituer des compléments alimentaires d’appoint en vue de rétablir l’équilibre du microbiote chez l’humain.
La façon de s’alimenter joue donc un rôle prépondérant dans la santé mentale. Le risque de névrose serait alors accru chez les personnes qui négligent cet aspect : tout est lié et à influence réciproque.
Influence réciproque entre l’alimentation et la santé mentale
