« La pudeur n’a pas pour seul effet de refouler les pulsions sexuelles, elle contribue aussi à les alimenter et même à les intensifier », Théodor Reik.
Dans un grand nombre de névroses, le sentiment de culpabilité a pour effet de renforcer la libido et d’augmenter la gratification pulsionnelle. Inversement, le sentiment de culpabilité a aussi pour effet d’inhiber la gratification pulsionnelle.
Notre pratique analytique nous prouve que tout ce qui réduit l’angoisse morale renforce la gratification pulsionnelle. L’accumulation de la libido, qui se produit en premier lieu sous l’influence du monde extérieur et du Moi, peut-être également la conséquence de l’action simultanée du sentiment de culpabilité. On s’attendrait plutôt à ce que le contraire soit vrai.
Quelqu’un qui a su repousser, avec un bonheur inhabituel, l’assaut de ses motions pulsionnelles devrait avoir pleinement confiance en lui-même.
La formation certifiante de psychopraticien réalisée en 2 ans à la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), vous apportera l’éclairage nécessaire à la compréhension au sentiment de culpabilité engendré par le désir sexuel.
