La jeune fille, une fois terminé le stade phallique, entre dans un stade post-phallique. C’est à ce moment qu’elle choisit de conserver ou d’abandonner sa position féminine.
Les fondements de cette position paraissent déjà établis au début de la période de latence, à un niveau génital avec ses caractères passifs et maternels, et la participation des fonctions vaginales ou tout au moins leurs équivalents psychologiques.
L’attitude authentiquement féminine et maternelle d’un si grand nombre de petites filles en fait foi : on ne saurait l’expliquer sans tenir compte du rôle du vagin sous son aspect réceptif. Les transformations biologiques de la puberté, l’expérience de l’acte sexuel apportent aux fonctions du vagin des modifications considérables qui parachèvent le développement psychologique de la fille et en font une femme dans toute l’acceptation du terme.
Ce sujet est développé lors de la formation certifiante en psychanalyse, élaborée par Hervé Madet, Directeur de la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), que vous pourrez suivre en distanciel ou en présentiel sur Aix-en-Provence.
