La vogue du mot complexe suscite du mécontentement auprès de fervents continuateurs de Sigmund Freud. Ils voudraient qu’à ce terme, jugé trop vague, soient préférés des notions plus précises.
Pourtant dès 1895, avec leurs études sur l’hystérie, Breuer et Sigmund Freud ont explicitement parlé des complexes pour désigner des représentations inconscientes, qui bien que s’étant présentées, n’ont pas pénétré dans le conscient et qui s’agrègent quelquefois pour former des complexes.
Plus tard, Sigmund Freud a donné cet avertissement perspicace « un homme ne doit pas lutter pour éliminer ses complexes mais pour s’accorder avec eux ».
Ils sont légitimement ce qui dirige la conduite dans le monde, et dénommé le complexe d’Œdipe, notion centrale de la psychanalyse.
En fait, il s’agit bien de la plus importante de ces représentations qu’il décrit comme actuelles. Le vocabulaire, aujourd’hui, définit le complexe comme suit : « ensemble organisé de représentations et de souvenirs à forte valeur affective, partiellement ou totalement inconscient ».
La formation certifiante de psychopraticien réalisée en 2 ans à la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), abordera les représentations inconscientes.
