Qu’est ce qui, dans les sentiments, les émotions, les désirs, les motivations affectives, dépend du potentiel individuel en place à la naissance ? Qu’est ce qui est apporté au sujet par les relations proches dans lesquelles il se trouve aussitôt impliqué ?
Il est impossible de connaître l’inné, qu’il soit congénital ou héréditaire avant qu’il ne soit actualisé, et la réalisation des virtualités personnelles est placée sous la dépendance du vécu, c’est à dire des relations familiales et ses structures sociales.
Pour Sigmund Freud, les civilisations sont des solutions adoptées par les groupes humains en réponse aux problèmes individuels générés par la vie sociale, comme par exemple le conflit œdipien. A l’opposé se situent des conceptions qui donnent aux stimuli extérieurs une place prédominante.
Pour le »behaviorisme », tout est conditionné par le milieu y compris l’affectivité, à partir d’émotions primitives élémentaires et suivant, par ailleurs, les lois de la maturation physiologique.
La formation certifiante de psychopraticien réalisée en 2 ans à la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), abordera l’affectivité et la culture.