Tous les enfants ne sont pas sujet à l’angoisse dans la même mesure. L’enfant arrive au monde avec un capital d’angoisse qui est pulsionnel, c’est-à-dire commun à tous mais d’intensité variable selon les sujets. Quelles en sont les raisons ?
Dans tous les cas, l’angoisse passe par le regard de l’autre. Le point commun de l’angoisse réelle avec l’angoisse névrotique est une libido inemployée.
D’où vient la névrose ? Comment se manifeste-t-elle ? De quoi l’anxieux a-t-il peur ? Quel rapport y a-t-il entre l’angoisse et la peur réelle des dangers extérieurs ?
A travers les théories d’Alfred Adler, de Sigmund Freud, de Mélanie Klein et d’Otto Rank, les réponses à ces interrogations sont apportées à la formation de psychanalyse de la E-Faculté de Psychologie et de Psychanalyse en présentiel ou en distanciel.
L’étudiant pourra ainsi distinguer les diverses attitudes du Moi face à l’angoisse, la différence entre l’angoisse et la peur, et comment le refoulement est responsable de l’angoisse. A chaque période de l’évolution correspond une angoisse qui lui est propre. Les symptômes psychotiques seraient normaux chez l’enfant.