Si l’homme moderne tient à tout prix à sa souffrance, peut-être usera-t-il de la force atomique. Il est ainsi, l’homme normal a des accès de folie qui ne se distinguent précisément de ceux du fou que d’une manière quantitative. Les accès chez lui sont plus doux et plus espacés.
Ils sont donc moins visibles à l’esprit non averti. Mais cela ne change rien au fait que la folie elle-même en tant que manifestation qualitative est tout aussi présente chez l’homme dit « normal ».
La différence entre le malade mental et l’homme normal est réduite à une proportion infime et il faut admettre que la folie est latente chez tout homme. A ce propos la physique nous donne des éléments que nous ne pouvons pas réfuter.
Ce sujet est développé lors de la formation certifiante en psychanalyse, élaborée par Hervé Madet, Directeur de la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), que vous pourrez suivre en distanciel ou en présentiel sur Aix-en-Provence.