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La jalousie vue par Sigmund Freud

La jalousie appartient aux états d’affects que l’on est en droit, tout comme le deuil, de qualifié de normaux.

Là où elle semble manquer dans le caractère et le comportement d’un être humain, il est justifié de conclure qu’elle a succombé à un fort refoulement et joue de ce fait dans la vie d’âme inconsciente un rôle d’autant plus grand.

Les cas de jalousie anormalement renforcés auxquels l’analyse se trouve avoir affaire s’avèrent triplement stratifiés. Les trois strates ou stades de la jalousie mérite les noms de :

  • Jalousie concurrentielle ou normale.
  • Jalousie projetée.
  • Jalousie délirante.

De la jalousie normale il y a analytiquement peu à dire. Il est facile de voir qu’elle se compose essentiellement du deuil, de la douleur concernant l’objet d’amour cru perdu et de la teinte narcissique, pour autant que celle-ci se laisse séparer du reste.

La formation certifiante de psychopraticien réalisée en 2 ans à la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), vous apportera l’éclairage nécessaire à la compréhension de la jalousie.

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