L’amour permet d’avoir accès à une vérité cachée, qui s’appelle également l’essence. L’âme est comme un cocher, car elle dirige l’attelage dont les deux chevaux sont bien différents : un est agressif et irascible, tandis que l’autre est calme et concupiscible (romantique). Le cocher doit piloter les deux chevaux, et correspond au rationnel et à la raison. L’allégorie de l’âme permet de comprendre les mécanismes de l’amour. Il est de ce fait important que l’attelage soit dirigé par la cocher, mais sans oublier qu’il a nécessairement besoin de ses deux chevaux. L’âme a ainsi besoin de complaisance et d’agressivité. Elle est immortelle mais s’incarne dans un corps. L’amour n’est pas uniquement rationnel mais la raison doit œuvrer. L’amour platonique serait pour Platon et Phèdre, un amour authentique.
Chez Socrate, quand l’âme meurt, elle part en couple. Ce philosophe peut parfois être décrit comme délirant, alors qu’en réalité il peut être incompris. Il n’est ni dangereux ni menaçant, bien qu’il ait un côté irascible envahissant. L’allégorie de la caverne permet d’expliquer pourquoi les âmes sont celles qu’elles sont. Pourquoi des personnes préfèrent les arts plus que d’autres. Tout ce qui bouge étant vivant, il exprime une âme à l’intérieur.
Cette thématique fait partie du cours de logique donné par Quentin Gardrat. Ces ressources sont disponibles à tous les stagiaires de l’EFPP, via la plateforme de cours.
