Dans le rapport au monde externe, c’est l’adaptatif qui règne. Ici, contrairement au monde interne où prédominait la tendance à la décharge absolue, c’est plutôt la recherche d’un maintien constant d’équilibre qui règle les échanges entre l’intérieur et l’extérieur.
L’analogie biologique typique est la respiration ou encore l’alimentation : deux processus assurant, par des échanges avec l’extérieur, le maintien d’un niveau constant dans le sang de matières, le glucose et l’oxygène, essentielles à la survie.
En ce lieu tout se passe comme si l’appareil psychique était »objet seeking ». Le représentant humain parfait de ce type de relation est peut-être le nouveau-né. La recherche sur le nouveau-né nous présente un petit être bien différent de celui que les psychanalystes s’étaient représenté jusque-là : un être passif, symbiotique ou même autistique, c’est-à-dire anobjectal.
Ce sujet est développé lors de la formation certifiante en psychanalyse, élaborée par Hervé Madet, Directeur de la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), que vous pourrez suivre en distanciel ou en présentiel à Aix-en-Provence.