Un père possède physiologiquement une musculature développée, ce qui a tendance à impressionner les enfants. Le doudou est l’objet transitionnel. Ce qu’il ne peut pas avoir avec sa figure d’attachement va être représenté par le doudou. L’enfant projettera ce qu’il veut avec cette figure d’attachement sur le doudou. Un enfant sans doudou n’est pas problématique, car c’est probablement qu’il n’a pas besoin de compenser le manque affectif, ou qu’il le remplace par les sucettes. Les adultes qui dorment encore avec leur doudou témoignent de ce fait d’une fixation au stade oral.
Au cours du stade anal, il est intéressant de regarder le rapport à la domination. Si l’adulte a préalablement fixé au stade anal, il cherchera plus tard à dominer l’autre, ou il y sera soumis. La posture vis-à -vis d’autrui est dans les deux cas en déséquilibre. C’est le cas des sujets qui ont tendance à vouloir constamment braver l’interdit, cependant s’il a un problème avec le père, la problématique peut venir du complexe d’œdipe (idem si elle a un problème avec la mère). Cela peut être un problème d’autorité.
Au cours du stade phallique, l’enfant va intégrer la structure familiale avec la place du père, en désirant le parent de sexe opposé. Il va même éprouver des sentiments amoureux envers ce dernier, ce qui induit de la culpabilité de le tabou de l’inceste. Pour sortir de l’œdipe, il va incorporer en lui les caractéristiques du parent de même sexe, et déplacer les sentiments du parent de sexe opposé sur ces camarades.
Ce sujet est abordé par un regroupement organisé par l’EFPP, à Aix en Provence. La rediffusion est disponible sur la plateforme de cours du centre de formations e-learning, dans la rubrique « Regroupement« . Tout inscrit pourra dès lors rediffuser les conférences à sa convenance, et ce, pendant toute la durée de sa formation.