Pour la psychologie des profondeurs, la pénétration au sein des couches profondes est beaucoup plus ardue et beaucoup moins limpide qu’elle ne l’est au sein des couches supérieures. Les connexions y sont enchevêtrées, les stratifications y sont engrenées.
Il est particulièrement difficile de progresser sous la couche imagée dans cette pure affectivité. Et si l’on ne tient pas compte de critères phénoménologiques, il est extrêmement malaisé d’aboutir ici à une évidence certaine. C’est une raison de plus d’essayer de découvrir de tels critères, afin d’établir une pure coordination avec des phases déterminées de la vie.
Selon la psychologie des profondeurs, ces phases donnent naissance à une autre stratification. D’après elle, pour l’individu isolé, des phases et des périodes vitales caractéristiques apparaissent, qui dans la moyenne, sont parcourues de bout en bout. Son développement doit passer par les étapes suivantes : stade utérin, naissance, stade oral, stade anal et urétral, stade œdipien.
Ce sujet est développé lors de la formation certifiante en psychanalyse, élaborée par Hervé Madet, Directeur de la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), que vous pourrez suivre en distanciel ou en présentiel à Aix-en-Provence.
