La solitude peut être définie comme un sentiment pénible et douloureux, d’un manque concernant autrui. Sa forme la plus aigüe est représentée par le déni.
Elle manifeste également le désir, comme appel à autre chose. Dans ce sens elle apparaît avec le manque, elle est le moteur des identifications par le désir. Mais celles-ci, une fois en jeu, induisent toute une stratégie par rapport à l’autre.
L’identification narcissique, à chaque étape libidinale, tendra à valoriser la solitude, loin de l’objet.
L’identification partielle met en action la participation : l’autre vient en concurrence de l’identification de telle manière que ces relations provoquent une manipulation de l’autre. Il s’agit d’être encore plus avec l’autre, qu’il soit objet (sadisme) ou que l’on infléchisse son altérité en se faisant objet (masochisme).
La formation certifiante de psychopraticien réalisée en 2 ans à la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), abordera dans ses moindres détails la psychopathologie de la solitude.
