L’espèce humaine est en instabilité énergétique constante, ce qui anime toutes les parties du corps de l’être humain. Néanmoins, l’individu ne reconnaît pas consciemment ces variations énergétiques et psychiques. Un passage à l’acte traduit par exemple une décharge pulsionnelle pour revenir à un état d’équilibre de base. Une pulsion est une énergie qui nous pousse à un certain passage à l’acte, plus ou moins contrôlé. En cas de pulsion incontrôlée, l’individu sera dans le registre de la pathologie.
Chaque être humain a besoin de répondre à une poussée énergétique, les versants vont donc être biologiques et psychologiques. Tout ceci est normal. Qu’elles soient de vie ou de mort, les pulsions sont vitales, car bien que manger soit une nécessité (pulsion de vie), il est indispensable d’être capable de s’arrêter (pulsion de mort). Dormir est par exemple une pulsion de mort, alors que le suicide est une pulsion de vie (volonté, action volontaire d’en finir). De plus, toute femme possède un instinct maternel, il est pulsionnel, pour autant, celui-ci peut être contrarié.
La décharge d’une pulsion, de vie ou de mort, est inévitable pour se sentir mieux et psychiquement apaisé. Lorsque la pulsion nous demande de réitérer l’action qui nous fait du mal, il est nécessaire d’entrer en thérapie pour trouver la cause et pallier le problème. L’individu pourrait le cas échéant entrer dans une forme de dépendance, et dans un cercle vicieux pathologique.
Cette thématique est abordée par la formation de psychopraticien, proposée par l’EFPP, depuis Aix en Provence. La rediffusion des cours directs est disponible sur la plateforme EFPP Campus, dans la rubrique associée. Tout inscrit pourra dès lors rediffuser les visioconférences à sa convenance, et ce, pendant toute la durée de sa formation.
