La résilience communautaire serait la capacité d’une communauté à répondre à la criminalité et à la violence, tout en conservant son organisation et son fonctionnement. L’aptitude collective concerne donc la faculté à intégrer le changement, à s’adapter, à transformer sa manière d’agir et à améliorer ses propres conditions individuelles et collectives.
Les moteurs de la résilience sont encore assez flou. Pour autant, il conviendrait de tout d’abord analyser la résilience des communautés étudiées, et de mener de manière concomitante une analyse documentaire sur la mesure de la criminalité organisée, sur l’évaluation de la résilience des communautés globales ou spécifiques. La contexte peut alors être pris en compte dans cette étude. De fait, les résultats divergent entre une communauté stable, et un groupe ayant connu des crises humanitaires, des catastrophes naturelles, un changement climatique rapide ou un conflit récent.
L’État peut jouer un rôle de soutien de ces communauté, en fonction de la difficulté rencontrée. Ceci peut également être une stratégie intéressante pour resserrer les liens entre les communautés locales et la haute autorité, pour ensuite proposer et tenir des actions efficaces. La résilience de la criminalité organisée ne sera ainsi qu’optimisée.
Cette thématique peut aisément être traitée au cours de votre année de formation de psychocriminologie, au sein de l’EFPP. La distance n’est désormais plus un frein : elle est à 100% réalisable en e-learning.
Source : OCWAR-T, 2016.
