En tant qu’être humain, les connaissances, les personnalités, les aspirations, les rêves, les intelligences, et la conscience ne proviennent que d’un même organe : le cerveau.
Le système nerveux central (SNC) comprend quatre éléments : le cerveau, le cervelet (coordination), le tronc cérébral (équilibre des fonctions vitales) et la moelle épinière (transmission des messages nerveux entre le cerveau et le reste du corps).
Le système nerveux périphérique (SNP) regroupe quant à lui les ganglions, et les nerfs qui relient la moelle aux autres organes.
Le système nerveux végétatif a une fonction majeure dans l’homéostasie. Le système nerveux sympathique va préparer à l’action pour combattre une proie (comme c’est le cas dans le processus de la phobie). Il est sollicité par l’anxiété, les troubles anxieux et donc les phobies, en exprime une dilatation des pupilles et la libération d’insuline. Le système nerveux parasympathique fonctionne quant à lui avec l’acétylcholine, et est l’inverse du système nerveux sympathique. Le système nerveux empirique s’occupe des habiletés motrices. Cela libère l’individu pour qu’il pense à autre chose que ses propres fonctions organiques.
La régulation des émotions est possible dans la zone du cortex préfrontal. Cette zone du cerveau est stimulée en cas de difficultés émotionnelles chez le patient : le thérapeute aura là toute son utilité.
Sans le cerveau, les traumatismes n’existeraient pas. La multitude d’aires cérébrales offre une diversité réactionnelle immense, ce qui explique pourquoi il n’existe pas de corrélation entre la gravité du traumatisme et son impact sur le psychisme de l’individu. De ce fait, une victime d’attentat ne connaîtra pas plus de souffrance mentale qu’un individu témoin d’une bagarre dans la rue.
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