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Après le jeu … place au dessin

Lorsque le parent joue avec son enfant, il contribue à son éducation et à son épanouissement. La pratique du jeu renforce les liens affectifs et sécurise l’enfant. Lorsque l’enfant fait un caprice, l’adulte doit alors agir pour l’aider à changer de posture.

Tout comme le jeu, que l’on peut inventer et improviser, le dessin est également très utile. Un tableau Weleda blanc est un exemple de matériel sur lequel le thérapeute peut investir : beaucoup de vérités seront interprétables grâce au dessin. Le pictionary des émotions consiste à son tour à dessiner quelque chose en lien avec l’émotion donnée par le praticien. Le principe est de deviner ce qui a été dessiné par l’enfant, et vice versa. Ainsi, il sera possible de voir ce que l’enfant associe à ses schémas. A savoir que pour suivre un enfant, les deux parents doivent donner leur accord par autorité parentale conjointe, alors qu’il y aura une exception pour un simple bilan.

Les travaux post freudien sont de la psychanalyse pure et dure : ils ont enrichi la théorie de Freud. Mélanie Klein pense que l’œdipe commence plus tôt que ce qu’a établi Freud. Le sein serait l’objet partiel de la mère. Lorsque le bébé est nourri avec le sein maternel, il va ressentir de la gratification et du plaisir : c’est le bon objet. La frustration de ne pas assouvir ce désir génère chez l’enfant de la haine envers la mère. Il mettra alors en place trois mécanismes de défense : le clivage, l’introjection, la projection.

Ce sujet est abordé par un regroupement organisé par l’EFPP, à Aix en Provence. La rediffusion est disponible sur la plateforme de cours du centre de formations e-learning, dans la rubrique « Regroupement« . Tout inscrit pourra dès lors rediffuser les conférences à sa convenance, et ce, pendant toute la durée de sa formation.