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L’universalité de la molécule d’ADN

Toutes les espèces du monde vivant sont concernées par cette molécule d’ADN. La diversité de toutes les espèces est considérée à partir de seulement quatre éléments de base : les nucléotides. Leur recombinaison va faire varier tous les individus d’une même espèce, voire d’une espèce à une autre. Aucun individu porte les mêmes allèles qu’un autre au sein de son génome : la diversité est remarquable compte tenu de quatre petits nucléotides uniquement. 

Les quatre allèles du groupe sanguin sont A, B, AB, et O. Ce génotype donne des phénotypes différents. Aucun organe n’échappe à la génétique, ainsi, chaque cellule en dépend également. Le phénotype étant la partie visible, il cache des particularités invisibles chez l’individu, mais les informations seront visibles chez les générations qui arriveront ensuite. C’est le principe des allèles dominants et récessifs. L’allèle O est un allèle récessif, donc une personne qui est du groupe sanguin O, aura nécessairement deux allèles O. Si un sujet possède deux allèles A et O, alors il sera de groupe sanguin A. Enfin, s’il possède les allèles A et B, il sera AB, car A et B sont des allèles codominants

Les nucléotides sont reliés entre eux deux a deux grâce à des structures physico-chimiques, qui pourront se casser et s’ouvrir pour permettre de créer de nouvelles combinaisons. Les maladies psychiques peuvent être impactées par cette génétique, en particulier quand les combinaisons sont délétères. Les phénotypes pathologiques ne peuvent pas être traités, l’humain ne sait pour le moment qu’agir sur les symptômes.

La génétique est rendue accessible à toute personne inscrite pour une formation EFPP. Loin d’être hors de contexte, cette discipline est à l’origine de tout ce qui peut ressorti du psychisme. L’association gène et environnement est alors à prendre en compte pour comprendre de nombreux mécanismes psychiques, pathologiques ou non.