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Optimiser les quantités de bactéries intestinale pour soigner son mental

Un article précédent a montré qu’il existait une corrélation positive entre la manière de s’alimenter et le bien-être psychique d’un enfant atteint de TDAH (trouble de l’attention avec hyperactivité).

Le sucre est la substance la plus excitante, et dont il est très difficile de se passer. Il ne convient pas d’interdire tous les sucres à un enfant concerné par le TDAH, mais bel et bien de le diminuer. Il est également conseillé de consommer des fibres, car elles absorbent l’ensemble des aliments que l’on mange et ne donnent au corps que ce dont il a besoin. 

Les fibres (cellulose) ne peuvent être digérées que grâce au microbiote, qui produit parallèlement des acides gras à chaîne courte (effets antiinflammatoires). La paroi intestinale peut par ailleurs devenir poreuse, laissant s’échapper de nombreuses substances qui ne devraient pas l’être, et qui montent jusqu’au cerveau. Cela intervient dans le mécanisme des maladies telles que l’Alzheimer. Un microbiote en bonne santé régule ainsi la concentration, les émotions, tout comme le sommeil, les balades et activités en extérieur, et les moments calmes. 

La psychopathologie, présentée dans la formation de psychopraticien de l’EFPP, permet de dessiner les contours des troubles, tels que le TDAH. Les enseignements permettent d’appréhender le suivi des patients et parents concernés par cette pathologie. Il serait alors intéressant d’enrichir son domaine de compétences en proposant des conseils ciblés sur la manière de s’alimenter. L’enjeu serait ainsi de diminuer l’impact du trouble sur la vie du système familial.

Les TDAH sont étudiés au sein de la formation certifiante de psychopraticien, proposée par l’EFPP.